Il faut faire vite, certes, mais pas au détriment des documents à sauver, évidemment. Avant même que l’eau ne soit pompée, la logistique doit être en place. Les ressources, humaines et matérielles, sont-elles prêtes ? Sont-elles suffisantes ? Le transport est-il organisé et les capacités de stockage planifiées ? Les questions administratives ont-elles été réglées au préalable ? La prise en charge des coûts par l’assurance est-elle approuvée ? Comment la documentation est-elle constituée ?

docusave dispose d’une infrastructure complète et à jour, incluant l’équipement de protection, le matériel d’intervention et les moyens de transport, stockage à sec, entreposage en quarantaine et congélation. Chez docusave, chaque élément s’inscrit dans un concept global.

Un dégât d’eau entraîne souvent l’apparition de moisissures. Pour éviter qu’elles ne se propagent dans les zones saines au moment de manipuler les objets infestés, il faut tout d’abord cloisonner les zones contaminées. L’aménagement de ces zones, dites séparations blanc/noir, dépend de l’ampleur des travaux, des conditions sur place, du degré de contamination et de l’environnement (zones névralgiques, par exemple un hôpital). Le matériel nécessaire au cloisonnement et aux sas de sécurité est toujours à portée de main, prêt à être transporté. 

 Le suivi précis de l’objet à chaque étape est primordial.

Documenter une intervention ne doit ni entraver les opérations en cours ni retarder les traitements tels que la lyophilisation sous vide ou les travaux de remise en état. Faute de quoi, les dégâts peuvent s’aggraver et la sécurité des données être menacée.

De la phase de sauvetage à celle de la remise en état, il est possible de savoir à tout moment où se trouve quel objet et ce qu’il en advient.

• Le classement des archives ou de la bibliothèque est repris et reproduit, s’il existe encore et s’il est utilisable.
• Dès le sauvetage, et durant l’ensemble des processus de remise en état, les objets sont suivis en continu. 
• La traçabilité, la sécurité juridique et la sécurité des données sont de ce fait garanties.
• L’inventaire photographique atteste l’historique de l’objet, depuis sa prise en charge jusqu’à sa restitution.

• Il est tout à fait possible d’opérer un tri à l’écran après le sauvetage.
• Chaque objet reste accessible pendant le traitement ou le stockage chez docusave.
• Le layout de l’inventaire peut être adapté au type d’objet (par exemple documents papier, objets d’art).

• La saisie des objets dans notre système de saisie et de suivi avant, pendant et après traitement (nettoyage ou décontamination, par ex.) sert de contrôle et d’assurance qualité. 
• L’inventaire photographique facilite et clarifie la communication entre vous et nous pour toute question au cours du traitement.

• Le prélèvement d’échantillons et les constats à des fins d’analyse sont documentés. L’ensemble des mesures et des particularités de chaque objet est répertorié (unités relatives de lumière URL, température, humidité, moisissures visibles, impuretés). Il est de ce fait possible de savoir à tout moment quel échantillon a été prélevé à quel endroit ou quelle mesure a été effectuée sur quel objet.

... le contenu de l’inventaire et la sécurité, soumis à une vigilance particulière tout au long du processus, sont garantis. Pour ce faire, nous avons mis au point diverses solutions. Nous répondons volontiers à vos questions.